Marc B.* est atteint depuis quelques années du syndrome d’apnées du sommeil et a déjà pu témoigner dans le détail de son expérience positive avec l’appareil CPAP AirSense 10.
Depuis 2017, le plus petit appareil CPAP** du monde – AirMini – est proposé par ResMed Suisse. Marc B. a testé le AirMini en voyage et à domicile, et a accepté de partager son expérience.

Vous avez eu l’occasion de tester le nouvel AirMini. Quel est votre degré de satisfaction ?
La miniaturisation d’a jamais pris autant de sens que dans ce cas. J’ai voyagé de Barcelone à Vienne, et j’ai apprécié son faible encombrement.

Votre expérience avec le traitement par CPAP et l’appareil AirSense 10 était déjà positive. Quels sont les avantages d’AirMini en comparaison ?
D’une part, comme mentionné auparavant, la conception extrêmement compacte. De manière générale, je peux dire que l’appareil et le masque forment un tout et que l’AirMini, malgré sa petite taille, m’a fourni les mêmes prestations thérapeutiques.

Pouvez-vous vous imaginer d’utiliser aussi AirMini comme appareil préférentiel à domicile? Absolument! On n’a pas du tout l‘impression de devoir traîner une „charge“. Les autres appareils sont sensiblement plus gros.

Quel masque utilisez-vous avec votre AirMini et en êtes-vous satisfait ?
Jusque là j’avais un masque d‘un autre fabricant, et maintenant j’ai testé le nouveau masque facial de ResMed AirFit N20. Je vais garder ce masque ! L’ajustement est remarquable. Un progrès formidable par rapport à la dernière génération. Au cours du test, j’ai été bien enrhumé pendant deux jours. Avec un masque, ce n’est vraiment pas évident lorsque le nez coule ou est bouché. Mais j’ai été très agréablement surpris.

Que pensez-vous de l’application AirMini (pour IOS et Android) et de la possibilité de contrôler AirMini depuis le smartphone ?
Pour tous ceux qui s’en servent volontiers, c’est un excellent service. J’ai également testé le service clientèle et j’ai obtenu une réponse rapidement. Vraiment super ! L’application motive véritablement à améliorer l’adhésion, c’est-à-dire l’observance du traitement.  Une fois l’appareil configuré pour son utilisateur, il ne reste plus qu’à l’enclencher ou à l’éteindre, tout au moins ça a été le cas pour moi.

Seriez-vous d’accord d’enregistrer vos données thérapeutiques dans un cloud sécurisé (via AirView), pour que votre médecin ou votre fournisseur de soins à domicile (Homecare Provider) puisse avoir accès à ces données ?
De mon point de vue, ce serait judicieux. L’observance du traitement est très importante, et le médecin en qui j’ai confiance devrait savoir comment je vais. Le sujet est trop sérieux pour que le patient puisse interrompre son traitement de son propre chef et que cela passe inaperçu.

Finalement, recommanderiez-vous AirMini?
Oui, presque sans réserve. La décision de débuter un traitement et le choix de l’appareil doivent en outre être bien réfléchis. Ce petit appareil de haute technologie possède plus d’atouts que je n’attendais, et convient comme appareil de première intention tout comme appareil à emmener en voyage.

* Nom/prénom du patient connus de ResMed

** Etat: avril 2017

La photo représente Marc.

Sa femme ne supportant plus ses ronflements, D.J.* a consulté son médecin traitant. Ce dernier lui a organisé un examen avec un appareil portatif enregistrant sa respiration nocturne. Le résultat a été un véritable choc : au cours de la nuit, cet homme de 46 ans faisait jusqu’à 50 pauses respiratoires… par heure ! Grâce à la ventilation en pression positive nocturne,  ces dangereuses pauses respiratoires ont aujourd’hui disparu. Et par le recours au programme en ligne myAir^TM, qui se distingue par son originalité, il peut même gérer lui-même son traitement.

Interview de Monsieur D.J., employé de banque:

Combien de pauses respiratoires faites-vous encore par nuit bien que vous portiez le masque de pression positive ?
Certaines nuits, je ne fais plus de pauses respiratoires du tout. Et lorsque c’est le cas, elles sont rares, au maximum six, réparties sur toute la nuit.

Est-ce qu’on ressent le bénéfice de la ventilation en pression positive ?
L’effet bénéfique du traitement des apnées du sommeil est quasi-immédiat. Depuis que je porte le masque, je me réveille frais et dispos, un état que je ne connaissais plus, m’étant habitué à la fatigue permanente. Mon épouse a elle aussi retrouvé un sommeil réparateur car la ventilation en pression positive m’a aussi permis de venir à bout de mes ronflements et leur vacarme !

N’est-il pas inconfortable de devoir dormir avec un masque ?
Je le supporte très bien, il ne me gêne pas. Je le porte d’ailleurs toutes les nuits depuis deux mois sans interruption.

Quand avez-vous entendu parler de myAir, le programme en ligne développé selon une approche cognitivo-comportementale pour les utilisateurs des appareils de ventilation en pression positive de ResMed ?
Lorsque l’auxiliaire de santé du prestataire de soins à domicile** m’a apporté l’appareil à mon domicile, il m’a expliqué son fonctionnement. Il m’a parlé de l’existence d’un nouveau programme, myAir, et qu’il serait bien que je jette un coup d’œil à la plate-forme, ce que j’ai fait le jour même.

Votre médecin ou votre prestataire de soins à domicile auraient-ils dû vous donner plus d’informations en amont sur les avantages de myAir pour une prise en charge adéquate ?
En fait, le médecin m’avait déjà donné de nombreuses explications, sans pour autant citer myAir. Il m’avait fait tester un appareil ResMed dont la version était plus ancienne que celle de l’appareil qui m’a finalement été livré. Mon médecin était déjà convaincu de son efficacité.

myAir vous a-t-il permis d’optimiser le traitement ?
Les vidéos sur la plateforme myAir décrivent très bien comment installer, régler et nettoyer l’appareil. Elles répondent pour ainsi dire à toutes les questions que les utilisateurs sont susceptibles de se poser. Les conseils sont particulièrement utiles au début. Dès lors, quelques finesses suffisent pour un traitement optimal.

A quel point les informations données par myAir vous ont-elles été utiles ? Et quels avantages décisifs voyez-vous à la plateforme ?
En cas de doute et d’oubli des explications de l’auxiliaire de santé ResMed, la solution se trouve facilement sur myAir. De plus, il est très agréable et facile de surfer sur la plateforme, car elle est très bien conçue et structurée.

Comment évalueriez-vous personnellement le potentiel des offres de myAir ?
Au début du traitement, tous les conseils m’ont été très précieux. Avec la routine, je maîtrise le processus et ne vais plus consulter le site quotidiennement.

Pensez-vous qu’une telle assistance par télésurveillance devrait faire partie intégrante du traitement moderne du SAOS ?
Sans aucun doute. Tel est d’ailleurs le cas pour moi. Cela permet de réagir rapidement en cas de problème.

Continuerez-vous à utiliser la plateforme myAir à l’avenir ?
Bien sûr, car elle me permet de vérifier régulièrement la qualité de mes nuits et l’état du matériel.

Recommanderiez-vous la plateforme myAir  à une connaissance ?
Oui, car elle apporte un « plus » incontestable au traitement.

Interview : Theo Uhlir, Tribune Médicale Public / Mars 2016

* Nom/prénom du patient connus de ResMed

** Les prestataires de soins à domicile (Homecare Provider) sont des fournisseurs de services pour les assurances-maladies. Ce sont entre autres la Ligue Pulmonaire Suisse ou d’autres organisations de soins à domicile.